Lilith van Bredevoort + avalante + I will never be what you want to see now
@ Lilith van Bredevoort
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Fays : 1553
Lilith van Bredevoort
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histoire
I just kept spinning and I danced myself to death
The shame ∞ Elle pouvait sentir le regard des autres enfants, comme toujours. Elle savait que sa nuque était rougie sous les attentions, et sa main tremblait légèrement alors que leur professeur lui rappelait quoi faire pour la troisième fois. Elle connaissait la méthode parfaitement, ses yeux fixés sur la fleur qu’elle devait vider de sa vitalité, et pourtant la pierre refusait de s’élever dans l’air. Sa main, tendue inutilement vers les deux objets, tremblait légèrement, et à mesure que les échecs s’accumulaient, les rires des autres enfants se faisaient de plus en plus forts. Le rouge était monté à ses oreilles à présent, et elle se mordit les lèvres de rage pour ne pas répondre au regard rempli de pitié que lui adressait le professeur. Comment la fille de la Suprême pouvait-elle être aussi incapable ? Aussi inutile, aussi peu accomplie ? Elle s’assit à sa table, les yeux fixés sur cette pierre qui restait fixée au bois comme si on l’avait collée, essayant de son mieux d’ignorer les commentaires désobligeants de ses camarades. Elle crispa ses poings sur ses genoux, se demandant, et pas pour la première fois, si elle n’était pas la première avalante à ne pas avoir de Chaos. Derrière le rire de ses camarades et la pitié de ses professeurs, c’était le regard déçu de sa mère qu’elle ne cessait de voir, ses lèvres qui se plissaient dans une grimace pas tout à fait triste mais terriblement mécontente, et ses joues en étaient rouges de honte. Comment l’enfant unique de la plus grande sorcière d’Avalon pouvait posséder si peu de prouesse magique ? Elle était une anomalie dans la lignée des van Bredevoort, et elle entendait les murmures dans les couloirs du Capitole qui parlaient de son père, et qui l’accusaient d’avoir dilué le sang magique de la lignée à présent royale. Un raté, qu’ils disaient, un bon à rien qui était mieux dans la tombe qu’aux côtés de la Suprême. Lilith lui apportait déjà assez de honte pour toute une vie, après tout.
The need ∞ La porte de la Suprême était fermée et elle s’était d’abord assise sur une chaise face à la porte, puis avait fini par bouger pour s’asseoir sur le sofa dans un coin du bureau de la secrétaire. Elle avait un livre d’histoire sur les genoux qu’elle ne lisait pas, les yeux glissant d’Isla à la porte fermée sans arrêt. Elle ne comptait plus les minutes passées à attendre sa mère. C’était habituel, après tout, la Suprême passant plus de temps avec le reste d’Avalon plutôt que sa fille. La présence de Lilith dans ce canapé, à attendre Filippa, était si habituelle qu’elle était persuadée que le cuir gardait la trace de son fessier même lorsqu’elle n’était pas là. Finalement, elle avait décidé de garder ses yeux sur Isla, qui travaillait et ne lui prêtait visiblement pas attention, même si Lilith savait que ça n’était en fait pas le cas. La secrétaire avait un espèce de sixième sens particulièrement précis, comme si elle pouvait prédire à chaque fois que Lilith s’apprêtait à faire quelque chose d’idiot ou d’interdit, comme faire voler cette porte ouverte et se jeter dans les bras de sa mère. Mais dès qu’elle bougeait, elle pouvait sentir l’attention de la secrétaire se focaliser sur elle sans même avoir besoin de la regarder. C’était parfaitement frustrant pour l’enfant qu’elle était et elle croisa les bras de mécontentement. « Comment se passent les cours de danse ? » demanda subitement Isla, et Lilith lui jeta un œil surpris. Pour autant, elle n’était pas dupe. Elle n’était peut-être pas brillante en magie mais elle était perspicace. Elle se laissa distraire malgré tout, un sourire timide apparaissant sur ses lèvres. « Très bien, on apprend les pirouettes, tu veux que je te montre ? » Déjà elle se levait, le livre d’histoire presque jeté sur le côté dans sa hâte. Isla relevait enfin la tête et Lilith lui sourit, préparant sa petite pirouette sous le regard encourageant de la secrétaire. Oh, elle ressentait autant d’affection que de colère envers celle qui avait pour rôle de garder Lilith occupée pour ne pas qu’elle dérangeât sa mère, mais ça ne l’empêchait pas de se demander parfois si ça ne serait pas mieux si c’était elle, sa mère, et non pas Filippa.
The escape ∞ Le monde lui avait jamais semblé aussi vaste, alors qu’elle parcourait les villes européennes en compagnie des Seekers, s’échappant chaque nuit pour aller à l’Opéra. Elle ne prêtait pas attention aux tensions sociales certaines qui planaient sur le vieux continent, bien habituée à faire l’autruche à Avalon, et faisait en sorte de se déplacer en usant le moins de magie possible. Ça ne lui était pas difficile : Lilith avait pris le réflexe de tout faire comme les humains lambda, initialement parce que ses prouesses magiques ne lui permettaient pas des élans de magie fabuleux, et ensuite parce que ça irritait terriblement Filippa. Évidemment, elle tomba amoureuse du ballet de Moscou. De façon plus surprenante, elle fut prise de passion pour les arts culinaires. Tout l’émerveillait : les goûts, les textures, et le visuel lui-même, si bien qu’elle fit un point d’honneur d’apprendre à cuisiner le plat fétiche de chaque pays qu’elle visitât pendant ces trois mois. Elle fut d’autant plus surprise de se rendre compte qu’elle avait un certain talent pour la cuisine, comprenant d’une façon relativement innée comment manier les goûts et les textures. Et le monde extérieur l’émerveilla tellement que lorsque la dernière mission fut terminée, elle hésita à rester dehors et s’établir pour point d’ancrage pour avalantes en détresse.. D’un côté, Avalon était sa maison, même si elle la détestait autant qu’elle l’adorait, et il y avait le studio de danse et ses rares amis. D’un autre côté, il y avait l’ombre de sa mère, à laquelle elle ne pouvait échapper, et ses attentes hors d’atteinte. Mais ça serait l’insulte ultime, pensait-elle, que la fille de la Suprême décidât de rester en dehors de l’île. Le dernier plomb dans sa relation inexistante avec Filippa. Et malgré elle, elle ne pouvait s’empêcher de vouloir cette relation. Que sa mère la regardât avec autre chose que de la honte ou de la gêne, pour une fois. Peut-être que si elle la voyait enfin sur les planches, si Lilith parvenait à lui faire trouver le temps de la regarder danser, alors elle comprendrait. Lorsqu’elle se décida finalement à rentrer, ils atterrirent sur l’île des réfugiés. Elle cherchait mais elle savait déjà que sa mère ne serait pas là. A la place, Isla avec un sourire désolé ; et l’amertume prit la gorge de Lilith si soudainement qu’elle faillit avoir un haut le cœur. Elle se força à sourire elle-aussi, étouffant cette nouvelle déception avec toutes les autres, et suivit Isla poliment.
The Nightmare ∞ Elle savait qu’elle ne devrait pas s’entraîner. Le studio était désert et cela faisait déjà plus d’une heure qu’elle était là, mais elle ne pouvait s’arrêter. Ses muscles brûlaient sous l’effort, la douleur constante mais maîtrisée depuis son plus jeune âge, alors qu’elle entreprenait une nouvelle série de fouettés. Ça n’était pas la première fois qu’elle était venue au studio aujourd’hui, et s’il n’avait pas été vide, elle savait que son entraîneur l’aurait forcée à arrêter. Pour autant, personne n’était là pour l’empêcher d’enchaîner de plus en plus de pas, le dos en sueur et les traits tendus. Elle ne devenait pas plus maladroite, au contraire. A mesure que les minutes passaient elle avait l’impression que les gestes devenaient plus précis, plus souples, plus fluides. Elle était tellement focalisée sur la perfection qu’elle devait atteindre qu’elle en oubliait de sentir les muscles sur-utilisés, les quadriceps qui faisaient savoir leur mobilisation trop importante à chaque nouvel appui. Elle ne pouvait pas écouter son corps, trop occupée à rejouer en boucle la dernière dispute avec sa mère, qui lui reprochait à nouveau de ne pas poursuivre ses études et de ne pas avoir intégré les corps prestigieux des Aes Sedai. Prends exemple sur Siuan Damodred, lui avait-elle dit, qui pour tous ses défauts vouait une telle passion pour Avalon que Filippa ne pouvait que l’apprécier. Et elle de lui répondre qu’il n’y avait que peu de choses qu’elle haïssait plus qu’Avalon, à part peut-être Filippa elle-même. La dispute avait éclaté à faire trembler les murs, le visage de sa mère sombre et celui de Lilith livide de colère. [colo=darkgreen]« Je ne t’ai pas éduquée ainsi, d’où te viens ce manque de respect ? »[/color] lui reprocha-t-elle, et le rire que laissa échapper Lilith était glaçant. « Tu ne m’as pas éduquée du tout. Isla est plus ma mère que toi ; c’était ce que tu voulais, non ? Je n’ai jamais été qu’une honte pour toi. » Elle ne lui laissa pas l’occasion de répondre. Elle partit en claquant la porte, des larmes dans les yeux mais refusant de pleurer, et elle s’était réfugiée dans ce qu’elle savait faire de mieux. La danse était comme un baume sur son cœur, la sortant normalement de ses idées noires et la mettant dans une transe artistique ; mais pas aujourd’hui. Non, elle ne parvenait pas à oublier le regard trahi de sa mère, et en quittant le bureau, les yeux interdits d’Isla. Elle était perpétuellement tiraillée entre l’envie de plaire à Filippa, d’être enfin à la hauteur de ses attentes pour recevoir ses attentions, et de la haïr pour lui faire ressentir de telles choses, de ne pas savoir l’apprécier et de lui préférer n’importe qui d’autre sur l’île. Elle se regardait dans le miroir, était censée apprécier la forme de ses gestes pour les améliorer, mais elle ne se voyait pas. Le dernier grand jeté fut de trop. La réception, initialement parfaite, devint catastrophique. Son genou céda enfin sous l’effort, et la sensation de déchirement fut telle que Lilith s’effondra au sol dans un cri. Ce fut son entraîneur qui la trouva quelques heures plus tard, prostrée et recroquevillée au sol, douloureusement consciente que ses rêves venaient de partir en fumée.
The Woman ∞ Elle ne pouvait quitter les yeux la forme de la juge en chef de l’île, et elle savait pertinemment pourquoi. Elle connaissait Alba depuis longtemps - si par connaître on pouvait entendre que Lilith avait passé une bonne partie de son enfance à côté du bureau de sa mère et qu’elle avait donc vu défiler les membres du Concile les uns après les autres - mais elles avaient commencé à se fréquenter que récemment. A dire vrai, Lilith ne se souvenait même plus comment ou pourquoi elle avait décidé d’approcher la membre du Concile. La seule chose qui restait dans son esprit était une soirée lancée par la juge et sa mère y étant invitée, avait envoyé Lilith à sa place. Pour une fois, sûrement par ennui, elle avait accepté. Elle y avait rencontré Helmi, la protégée d’Alba, et Alba elle-même avec qui elle avait échangé pour la première fois plus que quelques mots. Elle se souvenait du regard de la juge, qu’elle avait plus qu’apprécié, et les touches subtiles d’art dans toute la maison des Montenuevo, qu’elle avait eu terriblement envie de revoir. Alors elles s’étaient revues, une fois puis deux, jusqu’à perdre le compte. Jusqu’à faire un stage dans les bureaux de la membre du Concile, pour le plus grand plaisir de sa mère. Même si Lilith n’aimait pas y penser, elle savait que ce qui l’avait attirée initialement, c’était le côté maternel d’Alba — ou plutôt, c’était ce qu’elle avait projeté sur la juge. Aujourd’hui le regard qu’Alba plaçait sur elle n’avait rien de maternel. Il y avait une lueur d’envie, un besoin de possession qui faisait rougir Lilith sous les attentions ; l’impression d’être enfin désirée et appréciée pour ce qu’elle était. Le mot amour était interdit mais tout de même imprimé dans le cerveau de Lilith, qui ne souhaitait qu’une chose même après tout ce temps ; être assez pour quelqu’un. Elle ignorait sciemment les autres, ceux qui recevaient aussi les attentions d’Alba. La jalousie menaçait de la dévorer toute entière et parfois elle ne pouvait s’empêcher de la laisser déborder sur Alba, ne pouvant cacher son mécontentement, sa colère ; mais elle ne souhaitait pas non plus se torturer avec l’existence des autres. Leur présence était quelque chose qu’elle essayait d’ignorer jusqu’à ce qu’elle ne le pût plus, et même lorsqu’elle y était confrontée frontalement, elle préférait à présent fuir plutôt que de se blesser continuellement. Elle n’y pensait pas lorsque le regard d’Alba était sur elle, et uniquement sur elle, lui donnant l’impression d’être précieuse et indispensable, flattant son fragile égo. Elle en avait besoin comme d’une drogue, ces moments devenant tristement les seuls où elle se sentait adéquate, où elle n’était plus une source permanente de honte. Le regard d’Alba, et ses mains, et ses lèvres, dans une relation qu’elle savait ingrate et déséquilibrée mais dont elle ne pouvait se passer, addict de l’attention qui lui était enfin portée, aussi éphémère fut-elle.
The Hope ∞ Parfois, la chaleur relançait la douleur dans son genou, lui causant de boiter même trois ans après l’officielle fin de la rééducation. Lorsqu’elle était en cuisine, elle ne ressentait aucune anxiété. De façon miraculeuse, elle avait retrouvé avec la cuisine la même évasion que lui avait apportée un jour la danse. Bien sûr, les deux activités étaient drastiquement différentes et il n’y avait pas un jour pendant lequel le ballet ne lui manquait pas, mais cette dose d’évasion lui était parfaitement nécessaire. Oh, elle avait essayé tous les psychotropes possible après avoir goûté à l’endormissement de la morphine, cherchant comment abrutir ses émotions et étouffer la douleur émotionnelle plus que physique qui avait creusé son cœur, mais elle n’était pas inconsciente. La drogue l’avait effrayée et même si elle prétendait parfois s’y plonger à nouveau, pour faire réagir Filippa plus qu’autre chose, elle avait compris les dangers de telles substances et s’en tenait à la plus douce d’entre elles, pour décompresser de temps en temps. Et la cuisine lui apportait le reste. Une énième rébellion envers sa mère en refusant à nouveau d’intégrer un quelconque métier d’excellence et en refusant de travailler avec la magie. Sa cuisine était entièrement manuelle, n’usant jamais de sorts pour traiter les aliments. Peut-être s’en persuadait-elle, mais elle pensait qu’il était possible de sentir la magie sur les aliments et que cela altérait de façon irrémédiable leur goût. Elle aimait passer du temps à choisir ses ingrédients, à les travailler et à les cuisiner, même si la chaleur du piano de cuisson lui lançait des douleurs insupportables dans le genou. Elle avait l’habitude, pensait-elle, finalement peu dérangée au-delà de la perte de mobilité qu’elle ressentait. La cuisine, tout comme Alba, était quelque chose qu’elle essayait de garder relativement secret, parce qu’elle ne souhaitait pas que sa mère fît en sorte de la rendre inemployable sur l’île. Bien sûr, elle ne se faisait pas d’illusions : les petits Aes Sedai laquais de sa mère devaient bien savoir où elle passait une partie de ses journées et de ses soirées, et l’avaient sûrement rapporté bien diligemment à leur Suprême. Pour autant, Filippa faisait comme si elle ne savait pas, et Lilith, comme si elle le cachait. Elles n’en parlaient pas, pas plus que Filippa ne faisait l’effort de rentrer plus tôt du Capitole pour croiser sa fille. Lilith ne pouvait prétendre de ne pas être déçue de ne pas avoir l’attention de sa mère, car malgré les années et le fait qu’elle sût pertinemment que cela ne changerait sûrement jamais, elle ne pouvait s’empêcher de l’espérer malgré tout. Mais elle se souvenait encore de la dernière fois où elle avait souhaité à tout prix être assez parfaite pour sa mère, son genou victime définitive de ses ambitions, et elle souhaitait pas retomber aussi bas. Les yeux de la Suprême étaient de toute façon bien trop occupés à regarder la crise des réfugiés pour s’inquiéter d’elle, et pour une fois, alors qu’elle préparait un repas pour Alba, elle en était presque soulagée.
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J'ai tout lu courageusement \o/ et elle est chouette, cette petite !
Bon nouveau personnage alors
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T'es trop choupi, merci beaucoup
Your words hurt the most
You say "let it go", but I can't let it go. I want to believe every word that you say; for I'm so scared of losing you and I don't know what I can do about it (about it). So tell me how long, love, before you go and leave me here on my own. I know that I don't wanna know who I am without you | Bear's Den (c)flotsam.
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Bienvenue à toi avec cette perle J'espère que la table est bien dressée pour le dessert
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Lilith van Bredevoort a écrit:T'es trop choupi, merci beaucoup
Toujours
D'ailleurs j'suis déjà en train de réfléchir un lien avec Eko si ça te dit, vu qu'ils ont qu'un an d'écart... Ou si tu y a déjà pensé
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congrats petit.e avalante
te voilà validé.e !
Pauvre Lilith ! Elle n'a pas eu la vie facile. On ne peut que lui souhaiter que sa mère ouvre enfin les yeux...
Bravo à toi, tu vas enfin pouvoir fouler la terre de tes ancêtres librement. Les tiens habitent l'île depuis bien des générations, et c'est maintenant à ton tour de faire honneur à ton île !
Encore une fois, bienvenue parmi nous et si par la suite tu as le moindre souci, le staff sera ravi de pouvoir te venir en aide.
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