Lawrence Paxton ± Dissident ± Give up, 'cause you're makin' it so much worse
@ Lawrence Paxton
HIBOUX : 18
Fays : 1662
Lawrence Paxton
taking a closer look
Violent – Brute – Égoïste – Impatient - Méfiant - Impulsif – Têtu – Jaloux – Rancunier – Sournois – Manipulateur – Menteur – Peu se montrer très odieux – Possessif
you're exceptional
Elle
pour les bottins
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histoire
Le premier enfant de Nelly et Carlisle Paxton ne rechigne jamais au travail, même quand on l’arrache des bancs rêches de l’école. Il ne le dira jamais à personne, mais il aime bien écouter Madame Johnson leur conter ce que son père appelle être un « ramassis d’merde pour bourgeois ». Lawrence ne le croit pas vraiment, même si, à cet âge-là, tout ce que dit son père est parole d’évangile. Secrètement, il apprécie compter, donner forme à des mots, puis à des phrases, apprendre le nom des villes et des pays du monde. Il est maladroit, pas très doué au début, mais plein de bonne volonté. Il aurait pu s’en sortir si la guerre n’avait pas déchiré le pays et si son père n’avait pas été appelé pour le défendre. Lawrence n’a donc pas bronché quand il a fallu se tuer à la tâche dans les champs et auprès des bêtes, faire des allers-retours à pied parce que les Paxton ne roulent pas sur l’or, alors le cheval, tu l’utilises qu’en cas d’urgence. Fallait bien aider sa mère qui maintenait la famille à flot comme elle le pouvait. Déjà deux bouches à nourrir, plus une troisième qui arrondissait son bide mais qui ne l’empêchait pas de venir labourer les terres. Ça n’empêchait pas non plus les désespérés réformés de venir se démener entre ses cuisses contre quelques rations ou quelques pennies qui les aide à ne pas trop crever de faim. Le gamin les a vu tard le soir ou quand sa mère le croyait encore en ville. Il n'a jamais rien dit, ne lui en a jamais voulu, mais il s’est toujours demander si Robert, le petit dernier et donc quatrième gamin à nourrir, n’était pas le rejeton d’un de ces cons.
Ça fait deux ans que le paternel est parti dans les tranchées, Lawrence a 9 ans et il a déjà le comportement d’un ado. Il faut au moins ça pour ne pas laisser tomber Nelly, sa mère. Marie, d’un an sa cadette, fait du mieux qu’elle peut elle aussi pour veiller sur Anna pendant que le reste des Paxton entretiennent la ferme. Il y a aussi l’oncle Martin qui vient leur prêter mains fortes. Lui aussi il aime bien se perdre dans les jupes de Nelly mais Lawrence se demande si, cette fois, sa mère en veut vraiment de ce type entre ses jambes.
Carlisle revient en 1916, mal en point. Physiquement, il aurait pu être pire. Lawrence en avait vu des soldats revenu plus tôt que prévu du combat avec un visage boursoufflé de brûlure, aveugles ou carrément estropiés. Le paternel lui, il boite « seulement ». Un éclat de métal lui a tranché une bonne partie de la cuisse qu’il leur a raconté. Il a la gueule bardée d’égratignures, de bleus, il est mal rasé mais l’aîné des Paxton se dit que son père est au moins rentré… il a vite déchanté quand il a compris que Carlisle avait laissé une bonne partie de lui-même dans les tranchées. L’homme n’a jamais été un tendre, il avait même plutôt la main leste. Pour lui, il ne faisait que corriger ses gamins. Si l’un d’eux mouftait pendant la prière ou quand il leur ordonnait de fermer leur petite gueule, au mieux ils se prenaient une tarte dans le pif. Au pire, c’était les phalanges. A tout ça, Lawrence y était habitué. Il se faisait régulièrement corriger parce qu’il avait hérité du « caractère de sa putain d’mère ». Têtu, insolent. Mais ce type revenu de guerre qui affirmait être son père ? Il n’en reconnaissait que le visage. Parfois, dans de rares moments de lucidité, les yeux bleus de Carlisle n’étaient que deux gouffres de confusion et de cauchemars. Ça ne durait jamais qu'un temps avant que la brute ne revienne à eux.
Les coups pleuvent aussi bien sur Nelly que sur Lawrence qui s’acharne à faire épargner Marie et Anna. Robert est encore trop jeune pour se prendre des droites. L’alcool qu’ingurgite le paternel le rend pire que tout. Il est pris de délire, prend son gamin pour un allemand qu’il matraque avec un tison chauffé à blanc. Il prend sa femme pour une collabo et menace de la faire crever en la trainant par les cheveux au travers leur baraque de trois pièces, tapissée de poussière.
A chaque hurlement, insulte, humiliation ou brutalité, Lawrence a l’impression qu’on nourrit un truc en lui. Une bombe ou un monstre, il n’en sait trop rien mais ça le bouffe de l’intérieur comme un poison, une maladie qui rongerait les entrailles jusqu’à l’en faire crever.
Il comprendra plus tard que sa colère trouve une source inépuisable auprès de Carlisle et de tout ce qu’il représente. Il tente parfois de se rebiffer et manque de perdre ses doigts quand son père les lui éclate à coup de botte.
Il a 11 ans et se mange une énième branlée monumentale. Il ne sait même plus pourquoi, les coups de Carlisle le sonne tellement qu’il sait plus vraiment comment il s’appelle. Sa fureur gonfle, menaçante. Lawrence rêve de pouvoir grandir d’un coup, de prendre en carrure pour enfin répliquer et faire comprendre à ce sale chien ce que ça fait de se faire éclater la gueule. Cette chose le dévore, prend possession de lui et dès que les phalanges du père éclatent sa pommette, le gamin imagine trois coups de hache dans le crâne de l’adulte. Ça déborde de lui, de sa conscience et la vibration brûlante qui déferle est presque salvatrice. Carlisle interrompt brusquement sa correction quand plusieurs fenêtres se fissurent, puis explosent sans raison. Ça arrête leur petit monde, ils mettent ça sur la mauvaise qualité de cette maison de malheur. Et pour la peine, Lawrence se prend un dernier coup et devra trimer comme un chien pour rembourser les dégâts.
Mais les évènements se répètent. La robe de Marie prend feu quand il éternue. La table tremble brusquement quand il subit les hurlements incessants du père. Nelly est terrorisée et jure que la maison est possédée par les morts. Carlisle n’en mène pas plus large mais ne dit rien. Il soupçonne l’aîné d’être la cause de ce petit manège et ça lui colle une terreur pas permise. Le regard parfois sombre et brûlant de Lawrence avait de quoi foutre la trouille… Les manifestations s’accélèrent et la peur règne chez les Paxton. Carlisle se persuade que quelque chose tourne pas rond chez son gamin. Il s'en prend tout d'abord à sa femme et la corrige pour avoir forniqué avec le Diable en personne ou tout autre sbire qui s'en rapprocherait. Il nie volontiers la ressemblance frappante de Lawrence avec son père et préfère trouver une personne à maudire pour cet enfer.
Nelly est au fond de la piaule parentale, Carlisle se tient à distance mais tout dans son regard furieux fait entendre à Lawrence qu’il est foutu. Le père est persuadé que Dieu les met de toute évidence à l’épreuve. Lawrence était de toute évidence possédé par le Mal. Ils avaient engendré un enfant démoniaque et en lui, Carlisle vit la justification et la raison de tous leurs malheurs ; la pauvreté, sa blessure de guerre, son penchant pour l’alcool, la mort d’une des bêtes, la grippe espagnole qui avait emporté l’oncle Martin… Lucifer avait jeté son dévolu sur ce premier fils et il n’était pas question qu’il empoisonne le domicile une seconde de plus.
Carlisle tenta de le noyer, le suspendit par les chevilles dans l’espoir de voir le démon s’écouler hors de lui, il le piqua de multiples fois pour « évacuer le mal ». Des « épreuves » du seigneur, comme lui martelait le paternel. Et entre deux sévices, Lawrence se devait de réciter des passages de la bible à répétition, des heures entières après avoir aidé aux champs. Au lieu d’apaiser les manifestations, sa magie n’en fut que plus tourmentée. La haine du jeune homme au paroxysme, il sentait parfois cette chose dans ses veines comme un voile invisible venant l’étreindre. Il voyait rouge. Peut-être que son père avait raison et qu’il était l’incarnation d’un démon sans nom, disciple de Lucifer. Dans ce cas, il embrasait bien volontiers ce qu’on lui remettait entre les mains si ça pouvait lui permettre d’éliminer et de dépecer ce sac à merde qui lui servait de paternel, mieux encore si ça pouvait créer une échappatoire pour Marie, Anna et Robert. Évidemment, aucun voisin ni aucun villageois ne sut quoi que ce soit de la particularité de Lawrence. La terreur d’être stigmatisé et rejeté prenait le pas sur tout, si bien que Carlisle cracha à la gueule de Nelly lorsqu’elle suggéra de faire venir le Père Foster.
Les années passent, Lawrence prend en taille, gagne en force physique. Il commence à enfin répondre au poivrot Paxton. Il lui répond d’un pain dans la gueule. D’un coup de talon dans son genou malmené par la guerre. Lawrence sent enfin qu’il peut prendre le dessus, laisser exploser sa rage. Au lieu de ça, il décide de se tirer quand il rencontre Peter. Un vieux pêcheur, un loup de mer comme il aime à s’appeler, qui lui propose de le prendre avec lui sur son bateau. Lawrence accepte et promet à ses sœurs et son frère qu’il reviendra les chercher. Son objectif était tout trouvé et c’est ce qui le conduira à cumuler plusieurs jobs, du moyen au pire, pour économiser chaque penny qui pourrait les sortir de là. L’ainé absent, Marie fut l’exutoire suivant. Anna et Robert remerciaient silencieusement leurs aînés d’encaisser le plus gros.
Peter le prend sous son aile, lui apprend à lire quand il voit Lawrence tourné en rond sur le bateau à lorgner sur des bouquins dont il pige que dalle. Il se donne la mission de lui apprendre à décrypter ces phrases dont il reconnait à peu près les lettres. Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne sera sa première aventure littéraire. Le jeune homme passe ses journées sur ce vieux rafiot de ses 17 à ses 21 ans. Il apprend le métier assidument, se montre travailleur, dévoué à ses tâches. Il a un sale caractère, un peu trop insolent mais avec Peter c’est différent. Il a toujours cette même rage au fond du ventre, mais moins l’envie de la déverser sur le vieux avec son œil de verre. Peter baptisera le garçon comme un marin avec son tout premier tatouage. Une encre dégueulasse faite sur l’épaule.
Paxton goûte aux embruns, découvre les côtes françaises et espagnoles, ne manque jamais d’envoyer des courriers (écrits de la main de Peter) à sa fratrie. Il économise chaque centime pour eux. Lawrence connait enfin la liberté d’être. Il fréquente des bars dégueu, se prend des cuites à la bière chaude, devient une épave à l’odeur de poisson, se démène entre les cuisses des filles de joies, se perd dans les bordels. Il vole, aussi. Se bastonne pour des conneries. Finit en garde à vue, est menacé de finir en taule. Il fuit les pavés, cherche l’ivresse. Il n’est rien que ça, un chaos désastreux parce que c’est plus fort que lui. C’est inscrit dans ses gènes, son sang. C’est ce que son père lui a martelé pendant des années. Un enfant du mal.
Il merde une fois de trop, Peter est obligé de l’abandonner sur le port comme un con. Ça brise le cœur du vieux marin mais c’est sa compagnie de pêche qui est en jeu. Les temps sont durs, il ne peut pas tout foutre en l’air pour le désastre que représente Lawrence. Ce dernier retrouve alors les rues peu fréquentables et connait le déplaisir de devoir ramasser la merde des autres pour survivre. Mais là encore, il ne crache jamais sur un job à faire. Même si ça veut dire se cacher au fond d’une impasse pour se mettre à genoux devant des types qui iront retrouver leurs tendres femmes et bordés leurs gamins dans des draps de soie. Il vend des trucs pas nets, va récurer les chiottes, déblaie les égouts.
Son chaos (et ça n'avait jamais aussi bien porté son nom) lui fait parfois défaut et le met dans des situations de merde. Il a 24 ans, il erre dans les rues londoniennes à la recherche d’un endroit où crécher. Il tombe au hasard sur un attroupement de roulottes délavées, avec la peinture écaillée. Lawrence s’est approché du feu de fortune, prêt à offrir ses services pour repeindre tout ça en contrepartie d’un lit où passer la nuit. Au lieu de ça, il fait la rencontre des personnes les plus étranges qu’il ait pu croiser dans sa vie.
Ceux qui se font appeler « Freaks of the King » accueillent Lawrence à bras ouverts. Et pour cause, le jeune homme a le buste complètement tatoué, ses bras sont en bonne voie de l’être. Il se lie d’amitié avec Pétunia, une femme immense avec une barbe plus fourni qu’il ne l’aura jamais. Jason et Nelson, deux hommes avec un seul corps (des siamois comme l’apprendra plus tard Paxton). Lullaby, la chanteuse sans bras. Butler, l’acrobate à trois mains. Et d’autres encore, dont Zayn dit l’illusionniste.
Ce dernier, discret, fut celui qui comprendra rapidement que Lawrence n’était pas que le monstre tatoué que la foule prendra plaisir à applaudir. Il décèlera son chaos quelques jours plus tard, lui confiera qu’il n’est pas le seul et qu’il peut l’aider à maitriser ces fameux raz-de-marée qui le surprennent parfois. Il s’évertuera à lui apprendre quelques sorts basiques, puis un peu plus complexe au fil des années, histoire de se protéger en cas de besoin. Sur ce même laps de temps, Pétunia sera celle qui lui apprendra à écrire. En eux, Lawrence y trouve une seconde famille. Les Étranges, comme il aime à les appeler, se prennent d’affection pour la tête brûlée. Ils écument Londres et ses rues, puis Oxford, Liverpool. Tous ces voyages ne se font jamais sans une pensée pour Marie, Anna et Robert de qui il prend des nouvelles régulièrement, qu’il vient voir dès qu’il le peut.
Il a 28 ans, nous sommes en Mai 1933 et Lawrence embrase la notion de bonheur. Lorsqu’il fait ses comptes ce matin-là, il exulte. La somme colossale ramassée depuis toutes ces années est suffisante pour arracher Anna et Robert de ce trou paumé. Marie a mis les voiles quelques années plus tôt auprès d’un type, un benêt que Lawrence ne porte pas particulièrement dans son cœur mais qui selon les dire de sa sœur, lui permettait au moins de vivre une vie paisible, sans violence, avec l’amour qu’elle méritait de recevoir. C’était suffisant pour l’aîné.
Lawrence est à Londres pour prendre le train et rejoindre la ville la plus proche de son village de merde. Il prend un voyage de nuit, ça lui coûte moins cher et avant même qu’il n’ait le temps de foutre un pied dans la gare, il entend quelqu’un qui gueule à trois mètres de lui. Tout va vite. Un type massif s’en prend à une nana, Lawrence n’est pas du genre à intervenir, égoïste par la force des choses. Alors il sait pas pourquoi ce soir-là, il s’est senti poussé d’une grâce inconnue qui lui a fait tourner les talons pour se diriger vers le gars qui faisait deux fois sa taille, trois fois sa masse. Il n’est pas le seul à se bouger, y a trois autre mecs – des gentlemans, pardonnez le – qui l’interpelle. Le jeune homme n’a pas vu que la nana avait le bide à l’air, en sang, que l’agresseur s’en prenait déjà à un des intervenants en éraflant sa gorge d’une lame de 20 centimètres de long. Tout va très vite, oui. Lawrence a tout juste le temps de prendre une respiration, de sentir l’éclair de douleur entre ses côtes, puis dans le rein. Il ne se souvient pas s’être accroché à la gueule du meurtrier comme un forcené, tapant sur son visage comme si son seul but était de le réduire en miette, l’un de ses doigts trop largement enfoncé dans l’une des orbites de l’inconnu. C’est un truc qu’un « Gardien » lui racontera plus tard. Celui-là même, ce connard de fils de chien, qui est tombé d’on ne sait où pour venir « lui sauver la vie ».
Quand Lawrence se réveille, la confusion voile son jugement, l’appréciation des lieux. Son corps est là, sensible aux draps – il n’a jamais rien connu d’aussi doux – douloureux au possible et la tête aussi lourde qu’une enclume. Quand un homme et une femme débarquent pour lui expliquer la situation, le tatoué leur rit à la gueule. Il en chiale, même. Il a l’air d’un fou, d’un dément. Il se croit à l’asile, persuadé que Zayn va venir le chercher pour le tirer d’Avalon que Lawrence prend pour le nom d’un établissement.
Quand il réalise que personne ici ne se fout de sa gueule, qu’on l’a arraché d’une situation à chier mais que surtout, il ne refoutra plus jamais un pied dans son monde, le jeune homme vrille. Un fusible éclate dans sa tête déjà pas très net, malmené par les sévices, fracassé par les « purifications » contre son côté soi-disant démoniaque. Il cherche à fracasser la gueule des Gardiens, de tous.tes celleux qui cherchent à l’approcher. Lawrence hurle comme un démon de le laisser partir, qu’il a une putain de famille qui l’attend, que deux de sa fratrie va y passer s’il ne revient pas. Il connait Carlisle. Marie lui a déjà fait un topo de ce qu’il s’est passé quand Lawrence s’est tiré et y avait rien de beau dans l’histoire. Sa frangine lui a lâchée à demi-mot que Nelly n’était plus assez « bonne » pour le paternel, fallait bien qu’il cherche satisfaction ailleurs. Lawrence avait eu des envies de meurtres et sans Marie, probablement qu’il aurait fini en taule. Là, sur Avalon, Paxton veut tout cramer, réduire en cendres. Il menace, crache sur leur gueule, leur sert des insultes fleuries qu’ils n’ont probablement jamais entendu. Et quand il rencontrera plus tard celui qui l'a sauvé, James, il se jurera de le buter un jour sans savoir que la vie le fera d'elle-même. Alors, par extension, il haïra sa putain de bonne femme, cette chienne frigide.
Il en devient fou de rage, de haine. Fou, tout court. Lawrence s’isole, se fout des autres « réfugiés », se fout des avalantes qui cherchent à l’aider à s’adapter, s’acclimater. A quoi ? A une île qu’il n’a pas choisie, ni demandée ? Ça le rend malade de douleur à l’idée de ne pas pouvoir s’échapper et qu’on lui ôte ce choix. Comme s’il n’était rien d’autre qu’un type à ramasser et à garder ici pour fleurir cette île de merde d’habitant. Il doit passer des mois entiers sur Insulae Leann avant que Lawrence ne finisse par accepter son sort. Du moins, c’est ce que les avalantes déduiront.
A 29 ans, il rencontre Helmi. Une héritière aux allures de princesse qu'il déteste comme tous les autres. Seulement, la jeune femme n'a de royauté que les airs car après avoir tenté de l’aborder et de s'être faite renvoyée chier comme une merde, Helmi lui fait comprendre qu'on ne lui chiera pas dessus comme ça. Ils se foutent sur la tronche, passent leur temps à se gueuler dessus puis finissent par sympathiser quand ils comprennent qu'ils ont en eux la même colère et fureur, le même besoin de brûler Avalon. Ils deviennent rapidement amis même si en apparence, tous les opposent. C'est elle qui lui fait comprendre que pour sortir d'ici, il fallait être plus malin, jouer le jeu. Il la suit alors, devient homme à tout faire sur Avalon, se faire recueillir par une vieille femme, veuve, en mal de compagnie chez qui il fait tout. De fil en aiguille Lawrence s'installe, déteste un peu plus Avalon, désespère de ne pouvoir rentrer chez lui. Et avec ça, l'envie si rageuse de brûler l'île et de buter lui-même la Suprême.
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@ Ylva Svensson
HIBOUX : 69
Fays : 2408
Mon rival
T'inquiètes un petit combat dans la boue, un coup de crocs ou deux et tu vas retourner vite fait chez ta mère
Re bienvenue avec ce vilain garnement qu'est beau comme tout en plus, j'approuve
T'inquiètes un petit combat dans la boue, un coup de crocs ou deux et tu vas retourner vite fait chez ta mère
Re bienvenue avec ce vilain garnement qu'est beau comme tout en plus, j'approuve
I'll taste the devil's tears
He said: "I am the devil, boy, come with me and we'll make many storms." He offered me the universe, but inside my heart there's a picture of a girl. Some call love a curse, some call love a thief, but she's my home. And she's as much apart for this broken heart, but see broken bones always seem to mend — Angus and Julia Stone | (c)flotsam.
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@ Lawrence Paxton
HIBOUX : 18
Fays : 1662
Tg la moche et va jouer aux trois petits cochons
Mais merciiiiii hâte qu'on se tape sur le museau !
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@ Hel C. Svensson
HIBOUX : 249
Fays : 2640
Hiya darling Trop hâte de le voir débarquer !
Soyez sages you two !
Soyez sages you two !
I hate you, and I'd like to see you burn
So tell all your friend, this is the end of everything
Too late to repent, the wicked will reap what they sow
We will sanctify, purify
REJOICE IN THEIR SORROW AND SING
So tell all your friend, this is the end of everything
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@ Lerinda Daneels
HIBOUX : 633
Fays : 3880
Bon nouveau personnage, ma foi
~
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@ Lawrence Paxton
HIBOUX : 18
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Hel C. Svensson a écrit:Hiya darling Trop hâte de le voir débarquer !
Soyez sages you two !
Et moi trop hâte qu'on s'fasse des câlins ( *regarde Ylva*)
@Lerinda Daneels Merciii
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@ Delilah de Vries
HIBOUX : 1091
Fays : 4880
Hello toi.
Bienvenue avec ce nouveaucon personnage ! Il va foutre le bordel, c'est certain...
Bienvenue avec ce nouveau
“Hope” is the thing with feathers
I have no life but this, To lead it here; Nor any death, but lest Dispelled from there; Nor tie to earths to come, Nor action new, Except through this extent, The realm of you. — E. Dickinson | (c)flotsam.
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@ Le Conteur
HIBOUX : 256
Fays : 3360
congrats petit.e dissident.e
te voilà validé.e !
Fiche beaucoup trop longue à lire ! /PAN/ Non, j'déconne. C'est toujours un plaisir de te lire, même si c'est pour nous servir une tête de con pareille... Allez, amuse-toi bien avec ce merdeux !
Toi, t'as décidé de foutre le merdier sur Avalon ! Mais figure toi qu'on aime ça, les empêcheurs de tourner en rond... Alors bravo à toi et bienvenue sur ton terrain de jeu.
Encore une fois, si par la suite tu as le moindre souci, le staff sera ravi de pouvoir te venir en aide.
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pour finaliser ton inscription, suis les liens !
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@ Lawrence Paxton
HIBOUX : 18
Fays : 1662
Encore désolée pour la longueur Mais merciiii trop hâte de vous emmerder
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